Cette catastrophe qui désormais reste gravée dans la mémoire de tous, dépasse de loin le funeste « 12 Janvier 2010 » en pertes matérielles. De catégorie 4, cette force de la nature s’est abattue rageusement sur Haïti, principalement les régions côtières. Avec plus d’un millier de victimes déclarées, routes coupées, des demeures détruites, l’avenir proche s’annonce bien obscur.
Devant ce spectacle cauchemardesque, on ne sait plus où donner la tête. Malgré les calamités auxquelles tout le pays sera confronté, nous mettons à la disposition des populations sinistrées ce qui leur manque: nourriture, eau potable, de produits d’hygiène, vêtements propres etc.
Ne pas leur venir en aide se résumerait simplement à faire peu de cas de notre propre survie; c’est la province qui nous donne à manger.
Ce n’est pas un discours, mais un appel à la solidarité en faveur des désespérés.
François Maximilien, Terminale Rouge