SOMMAIRE
Les 10 erreurs que les profs devraient éviter
de commettre
Temps de l’Avent
L’Avent est le
temps de l’attente pieuse et joyeuse. Il débute le 4e dimanche
avant Noël,
et marque le début de l’année liturgique. Ce temps a une
double caractéristique : c’est à la fois un temps de
préparation aux solennités de la Nativité,
où l’on commémore le premier avènement du Fils de
Dieu parmi les hommes, et un temps où, par ce mémorial, les
âmes se tournent vers l’attente du second avènement du
Christ à la fin des temps.
L’AVENT
rime avec cinq attitudes que nous inspire le psaume 129 et qui peuvent nous
aider à faire de ce temps fort un temps de grâce.
Attendre : L’Avent
est bien le temps de l’attente du salut, le temps où nous sommes
invités à dire avec le psalmiste : « Mon
âme attend le Seigneur plus qu’un veilleur ne guette l’aurore. Plus qu’un
veilleur ne guette l’aurore, attends le Seigneur, Israël. » (Ps
129,6).
Veiller : Voilà l’attitude
fondamentale que nous sommes invités à adopter pour bien vivre ce
temps de l’Avent où nous nous préparons à
fêter NOEL. Le veilleur est celui qui réfléchit, qui prie,
qui prévient, qui surveille, qui anticipe, qui espère le soleil
levant. Dans le Ps 129, au verset précité, il est associé
au verbe « attendre » : « …Plus
qu’un veilleur ne guette l’aurore, attends le Seigneur,
Israël. »
Espérer : L’Avent,
c’est aussi le temps de l’espérance qui donne force et
énergie pour ne pas sombrer dans le désespoir et pour affronter l’avenir
avec confiance. » Dans le Ps 129,5, il est lui aussi associé au
verbe « attendre » : « J’espère le
Seigneur de toute mon âme ; je l’espère, et j’attends sa
parole. »
Nettoyer : Le temps de
l’Avent est encore celui de la préparation à la venue du
Sauveur, de celui qui vient nous racheter de nos fautes (cf. Ps 129,8). Mais
pour que cette préparation soit effective, un nettoyage intérieur
s’impose. Car le Saint des Saints, le Seigneur des Seigneurs, qui vient
faire sa demeure en nous ne saurait être accueilli dans un espace
insalubre. Pour un tel exercice de nettoyage, l’accueil du sacrement de
la Réconciliation peut très bien nous aider.
Témoigner : Si
vous attendez un inconnu, et que personne ne vous dit qui il est, vous aurez du
mal à le reconnaître. Le témoin permet de savoir ce
qu’on voit. La lumière seule ne fait pas sortir des
ténèbres, il faut un témoin. Les livres sont à la
bibliothèque, la science et la technologie sont là ; mais
sans enseignant, les plus intelligents ne quitteront pas les
ténèbres. Puissions-nous être tout au long de ce temps de
l’Avent des témoins de l’espérance, ou mieux des
témoins de celui qui vient combler l’espérance des hommes.
Espoir ou espérance ????
L’espoir
repose sur une vue humaine de la situation. Selon que nous sommes optimistes ou
pessimistes, selon la connaissance que nous avons du contexte, nous serons plus
ou moins portés à espérer un avenir meilleur ou à
désespérer de voir les choses bouger…
L’espérance repose sur la foi en Dieu qui est fidèle
à sa promesse d’être toujours à nos
côtés pour nous donner force et courage pour marcher vers la
sainteté à travers nos joies et nos épreuves de chaque
jour.
Ainsi
les chrétiens persécutés sont remplis
d’espérance, même si bien souvent leurs perspectives
d’un avenir meilleur sont quasi nulles.
Vision et pragmatisme
Tous ceux qui ont parcouru la correspondance
de Jean-Marie de la Mennais ont été surpris par le nombre de
lettres qui traitent de sujets pratiques : questions financières,
matérielles, sanitaires, administratives… Très souvent, il faut
même attendre la toute fin de l’épître pour trouver des
considérations plus élevées, éducatives ou
spirituelles. Quand nous lisons la vie du Père de la Mennais, nous
voyons un homme sur-occupé, s’escrimant sur de nombreux champs de
bataille, aux prises jour après jour avec l’administration des
différents gouvernements, s’efforçant de voir clair dans des
affaires complexes. Que d’énergie, de fatigues, que de kilomètres
parcourus, de pages noircies ! L’expression « s’épuiser
à la tâche » semble avoir été taillée
sur mesure pour lui. Cette suractivité, si elle est le lot habituel de
tous les fondateurs, ne dit pas leur secret. Ils ont été, selon
l’expression de l’Évangile, de bons serviteurs dans la maison du
Père. Ils se sont montrés
disponibles et efficaces parce qu’ils savaient qui ils servaient et que leur
volonté s’accordait avec celle du Père. Chez l’ensemble des
fondateurs, nous retrouvons cette alchimie rare entre une vision juste et
ajustée et un pragmatisme de tous les instants.
Dès le début de sa vie
sacerdotale, Jean-Marie en a fait l’expérience.
L’événement fondateur du Torrent d’idées vagues peut
être considéré comme la vision initiale de notre fondateur.
Le 13 novembre 1807, alors qu’il se repose à La Chesnaie, la lecture de l’article
sur les jacobites dans le dictionnaire de Bergier,
provoque en lui un déclic « une
sorte de bouillonnement d’idées qui, à partir d’une
hérésie particulière font refluer à l’esprit de
Jean-Marie de la Mennais l’ensemble des hérésies, les schismes,
les religions non chrétiennes, le paganisme… et le confirment dans
l’ardente volonté de travailler au retour de toutes les religions
à l’unité de Dieu… ».
Il écrit alors en une heure et demie
trente-trois paragraphes décrivant un plan d’action global et les moyens
concrets à mettre en œuvre qui orienteront tout le reste de sa vie
autour d’un objectif global : travailler à l’unité. Durant cette
expérience, il a «vu » les enjeux fondamentaux pour l’homme,
la société et l’Église, vision à la fois
prophétique, messianique et apostolique.
Cette expérience spirituelle du jeune
prêtre a vite été confrontée à la
réalité. Cette confrontation ne l’a ni détourné ni
paralysé. Bien au contraire, elle a déterminé une
caractéristique supplémentaire des fondateurs : l’urgence d’agir.
Administrateur du diocèse de Saint-Brieuc, il a vu la
réalité d’une Bretagne pauvre, divisée, d’une population
souffrante et aliénée et tout particulièrement la
situation dramatique des enfants, filles et garçons, dans les villes et
campagnes. Cette vision de la réalité brutale l’a atteint
profondément dans toutes les dimensions de son être. Elle est
entrée en concordance avec ce qui s’était
révélé à lui durant l’écriture du Torrent
d’idées vagues et l’a amené à discerner ce qu’il fallait
faire et à y consacrer toutes ses forces et ses capacités,
à tous les instants. Et ce, durant la quarantaine d’années qui a
suivi ainsi qu’en témoignent les courriers dont nous parlions au
début de cet article. (À suivre)
Extrait
du livre « Abécédaire de pédagogie mennaisienne » (Frère Thierry Beauplet)
Les 10 erreurs que les profs devraient éviter de commettre
En classe, les enseignants commettent des erreurs pédagogiques et
relationnelles qui peuvent être préjudiciables dans le cadre de
l’apprentissage de l’élève ou la relation prof
– élève. Voici une liste de ce que les profs n’ont
pas le droit de faire ou ce qu’il ne faut pas faire en classe :
Être ami avec ses élèves, c’est la porte ouverte
aux dérapages. Les enseignants doivent prendre et garder une certaine
distance avec leurs élèves. Tout simplement, parce que la
différence d’âge, de savoir et d’expériences
rend cette amitié quasi-impossible. On peut exprimer une grande
sympathie pour nos élèves, mais tout doit rester dans le cadre
strict d’une relation professionnelle prof-élève. Par contre, rien ne nous empêche de recevoir des
courriels de nos élèves ou de discuter avec eux, dans la mesure où
chacun respecte ses limites.
Si vous acceptez l’amitié de l’un de vos
élèves, vous serez obligé d’accepter
l’amitié de toute votre classe, car en effet, comment dire oui
à l’un et non à l’autre ? Le même
problème se pose aussi au niveau des réseaux sociaux. Être
ami avec ses élèves sur Facebook, par exemple, peut compromettre
ou rompre le lien pédagogique entre le professeur et ses
élèves. De plus, cette situation donne l’illusion aux
élèves qu’ils peuvent obtenir des privilèges et
s’immiscer dans la vie personnelle du professeur. La solution
préconisée est de créer un profil professionnel à
côté du profil personnel.
L’enseignant doit se concentrer sur l’instauration du respect
en classe.
La mauvaise conduite des élèves en classe est une vraie
source de perturbation des cours. Une enquête menée par l’OCDE (Organisation de coopération et le
développement économique) sur un échantillon de 260 000
enseignants et chefs d’établissements de 48 pays affirme que les
enseignants passent plus de 14 % de leur temps à instaurer la discipline
en classe ou à faire régner le calme au lieu de dispenser les
cours. En d’autres mots, le manque de discipline nuit à
l’apprentissage et perturbe l’enseignement. De surcroît, les
élèves apprennent moins bien et ils se sentent très
malheureux, ce qui peut avoir un impact réel sur leurs performances.
Les profs souhaitent imposer leurs exigences, mais ils n’y parviennent
pas toujours. Ils font ici preuve d’impuissance car ils ont
l’impression que leur autorité est constamment
défiée et remise en question. Cela cause une double souffrance
des professeurs, physique et psychologique. Voici donc quelques solutions qui
pourraient vous aider à (ré)instaurer la discipline :
·
Rédigez une charte de classe de bonne conduite claire et lisible.
·
Isolez l’élève difficile en lui demandant un
écrit.
·
Encouragez les bons comportements des élèves.
·
Établissez un système de
récompense. (à
suivre)
LA VIE A SAINT-LOUIS
Anniversaires : Bon
anniversaire à tous ceux qui sont nés en novembre
1er
|
FELIGET
Yvan |
14 |
FRANCOIS
Jean Watson |
15 |
SOIRIN
Yvania |
21 |
BERNADIN
Jean Eddy |
22 |
PAILLANT
Johnny |
23 |
DEFAY
Fredrick |
23 |
BERTRAND
Rigaud |
27 |
AUGUSTE
Jean Maxime |
Savoir-Vivre
(Tenue)
Les
élèves sont autorisés à venir en couleurs
jusqu’à nouvel ordre mais comme le stipule la charte de
l’école, « en tout temps, chacun se présente en
tenue convenable à l’école : souliers noirs ou tennis
complètement fermés, chaussettes, pantalon long ou jeans simple,
ceinturon, maillot uni à l’intérieur du pantalon, avec
manches et col, cheveux courts, coupe simple ».
40 ans de notre chapelle Notre-Dame de la Présentation
L’ouverture
de cette année jubilaire se fera en deux temps. Le jeudi 8
décembre 2022, nous aurons la messe des élèves avec la
participation d’une classe ou deux par niveau et le 11 décembre ce
sera la célébration dominicale pour tous les fidèles de la
Chapelle et une délégation de 5 élèves par classe.
Fraternité
mennaisienne :
Dimanche
18 décembre : Temps de convivialité pour la
fraternité mennaisienne de Delmas à
midi (12h).
jeunes mennaisiens SLG
28
novembre – 2 décembre 2022 : Lancement du groupe des jeunes mennaisiens SLG avec les élèves
intéressés de S3 et S4.
Félicitations
(Moniteurs)
Aux
élèves qui se sont distingués par leur engagement exemplaire
auprès des enfants défavorisés de Cité Soleil et
leur fidélité durant les activités des vacances estivales et
les journées récréatives de ce mois novembre :
–
Bryan Ruben, Steddy
Pierrilus et Bontzley Petit-Frère de NS4
–
Marcus Saint-Louis et Ernst Bernard de NS2
–
Accompagnement
Mme Linda
MÉTAYER, psychologue, et son équipe seront dans nos murs cette
semaine pour assurer quelques workshops en faveur de nos
élèves : Mardi (3ème Cycle)/Mercredi
et jeudi (Secondaire)
Pensée
pour chaque jour
(À
écrire au tableau et sur les cahiers)
Lu
28: « Veillez donc, car vous ne savez pas quel jour votre Seigneur
vient. »
Ma
29 : « C’est à l’heure où vous n’y
penserez pas que le Fils de l’homme viendra. »
Me 30 : « Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent.
» Mt 4
Je 1er « Prenez appui
sur le Seigneur, à jamais. » Is 26
Ve 2: « Seront
supprimés tous ceux qui s’empressent à mal faire. »
Is.29
Sa 3 : « Dès
qu’il t’aura entendu, le Seigneur te répondra. » Is 30
Di 4: « En ces jours-là fleurira la justice. »
Ps 71