Partager les émotions et les rêves en Haïti
On dit assez souvent qu’écrire c’est hurler en silence afin de partager les émotions refoulées ou des rêves en hibernation. Écrire c’est donc lutter et espérer. Cela devient une routine de rappeler que les années scolaires se succèdent et se ressemblent en Haïti. Elles sont le théâtre de grands bouleversements et d’incertitude à n’en plus finir. Assombri par les défis, les difficultés du quotidien, le monde semble être lui-même, une usine à désespoir.
Espérer au milieu des tourments
Mais au delà de ce rythme infernal que nous impose la conjoncture nous osons toujours espérer, armés de notre foi et de notre confiance en nos capacités à modeler l’avenir que nous désirons.
Nous sommes entrés dans la nouvelle année académique et déjà les défis montrent la tête. C’est donc un temps où nous devons miser sur l’espérance, en semer beaucoup et partout.
La puissance de l’espérance
L’espérance est cette force qui nous permet de résister lorsque les conjonctures se corsent. Résister dans les moments difficiles, face aux épreuves avec courage, détermination et foi inébranlable. Elle nous permet de tenir sous les bourrasques et atteindre nos objectifs contre vents et marées.
Semer l’espoir dans un monde incertain
Nous pouvons tous être des « serviteurs d’espérance » dans nos champs respectifs, nous impliquant pour le mieux, plantant l’espoir à tous les horizons et sur chaque sol de l’existence humaine.
En tendant la main à ceux qui en ont besoin, en usant de la gentillesse, en agissant pour un monde meilleur, un avenir plus certain. Dans un monde dépouillé de sa substance, soyons des passerelles d’énergie !
APS